Je suis une femme mariée, mais deux fois par semaine, mon amant me rend visite pour un moment de débauche. Jusqu'à ce qu'un jour, au beau milieu d'un cunnilungus, mon mari pousse la porte... et voilà que je baise avec mon amant et mon mari en même temps !
La porte qui claque, les pas dans l’escalier, le démarrage du moteur, les cailloux qui crissent sous les pneus et le silence. Le silence comme un signal : mes trois heures d’adultère peuvent commencer. Trois petites heures, deux fois par semaine. Le mardi et le jeudi, entre 14 h 30 et 17 h 30. Jamais avant, jamais après, jamais les week-ends ni les jours fériés. J’ai instauré une discipline stricte à ma duplicité pour lui permettre de durer. Non pas que je me complaise dans le mensonge ou le statut de femme infidèle, mais il est la source de tant de plaisir que je n’imagine pas y mettre fin. Pas pour l’instant.
Les rituels pour recevoir mon amant
Pour l’instant, la voiture de mon mari a disparu au coin de la rue, il est temps de me préparer à recevoir mon amant. D’abord un message pour l'avertir. Ensuite, une douche qui laissera un parfum sucré sur ma peau. Puis les draps, toujours changer les draps, avant et après. Enfin, je m’habille. Je me déshabille, plutôt. Un simple body de dentelle arachnéenne. Le moins de tissu possible, la peau accessible à toutes les envies. Là, une fraction de secondes avant que la grande aiguille n’atteigne le VI, la symphonie des bruits se joue à l’envers, dans le sens qui m’excite le plus. Les graviers, le moteur, les pas, trois coups frappés à la porte. Il n’attend pas que je vienne ouvrir, il aime la surprise. Me trouver sur le lit, languissante, sur le canapé, jambes écartées, accoudée sur le comptoir de la cuisine, dos cambré et fesses tendues. Avant de s’approcher, il me déguste du regard. La convoitise fait chatoyer ses yeux marrons. Il se débarrasse d’une partie de ses affaires. Clés, téléphone, bijoux, tout ce qui pourrait être oublié, devenant une preuve de sa présence. Il les pose toujours au même endroit, au centre de la table. Tandis qu’il construit ce petit tas de morceaux de lui, je commence à me caresser sans hâte. J’effleure mes tétons à travers la dentelle, laisse traîner une main entre mes cuisses. Et le voilà enfin prêt, presque nu. Il sait que j’aime ôter moi-même le dernier bout de tissu et conserve son boxer ajusté. Alors, nos corps se trouvent.
Aujourd’hui sur le lit, dans la pénombre des rideaux tirés pour éviter les regards indiscrets. Il m’embrasse avec ardeur, sa langue s’enroule autour de la mienne puis ressort pour me lécher les lèvres. Il m’embrasse comme s’il allait me dévorer et la chaleur s’amplifie dans mon bas-ventre. À la fin d’un baiser, il me saisit par les hanches et me fait basculer sur lui. Ses jambes musclées se nouent autour des miennes, m’empêchant de bouger. Je suis coincée contre son torse, mon pubis pressé contre le sien, avec juste la place nécessaire pour que sa main atteigne mon clitoris. Il défait les boutons de mon body et commence à faire aller et venir ses doigts. Je me cabre de plaisir, il chuchote “oh non, tu vas rester tranquille” et attrape un poignet qu’il vient remonter dans mon dos. Impossible de bouger, seuls ses doigts ont la liberté d’agir. Il cajole mon clitoris, s’arrête pour glisser deux doigts dans mon vagin, reprend les petits cercles sur mon bouton de plus en plus sensible. Le rythme imprévisible me fait perdre la tête, je gémis sans retenue. Contre mon ventre, je sens la pointe de son pénis devenu raide et gonflé, le supplie de me pénétrer. Sans me libérer de son étreinte, il manoeuvre pour glisser le bout de son gland dans ma chatte trempée : “c’est ce que tu veux ?” Je m’étouffe sur des “oui” désarticulés et il m’embrasse en souriant : “d’abord, tu vas jouir.” Sa queue disparaît, ses doigts reprennent leur danse et je sens que oui, je vais jouir maintenant. Tout mon corps tremble et j’enfouis ma tête dans son cou pour crier. Il ne me laisse pas le temps de reprendre mes esprits et me retourne à nouveau, cette fois à quatre pattes. Je manque de jouir une seconde fois lorsqu’il me pénètre tant ma vulve est sensible, submergée par la houle de satisfaction. Toujours aussi sûr de lui, il attrape mes hanches et me donne de grands coups de reins, ceux que je préfère. Le drap glisse sous mes doigts, ma tête vient cogner le mur mais je m’en fous, je ne ressens que la volupté de sa bite qui s’enfonce toujours plus profondément, toujours plus fortement, je n’entends que ses gémissements et ses compliments, le claquement de nos peaux qui s’entrechoquent. Alors qu’il ralentit la cadence, j’insinue une main entre mes jambes pour lui attraper les couilles et les serrer entre mes doigts. Il souffle et se dolente : “oh putain, tu vas me faire jouir”. Je le supplie de jouir sur mon cul et joue avec ses boules bien dures. Il me pilonne encore un peu et, dans un râle étouffé, se retire pour éjaculer sur ma peau. Je jouis une nouvelle fois en sentant son foutre chaud gicler sur mon cul tendu. Il s’effondre sur moi et sourit : “t’es incroyable.” On reste là quelques minutes, à reprendre notre souffle, conscients que la récréation est terminée et que l’horloge va nous rattraper. Et sur un dernier baiser, on s’active. Il nous reste juste le temps suffisant pour prendre une douche et remettre les lieux en ordre. Sous l’eau, il me savonne le cul, laisse disparaître son sperme dans la bonde. Il me raconte tout ce qu'il me fera, comment il s'y prendra pour me faire jouir. C'est le dialogue convenu, ça m'amuse beaucoup. Il ne vire jamais dans le sentimentalisme : il a compris les règles. Il disparaît non sans m’avoir mordillé les tétons “pour patienter”. La porte, les pas, le moteur, les cailloux, le silence. Je me dépêche de changer draps et serviettes, je passe l’aspirateur et vérifie que rien ne traîne. Tout est en ordre, aucune trace de notre débauche de sexe. Et moi, bien baisée, bien lavée, bien apaisée, je me sens heureuse.
Vous vous dites sûrement que je suis une affreuse personne. Vous avez peut-être raison. Pourtant, j’aime mon mari. Nous sommes ensemble depuis longtemps et il s’est toujours montré à la hauteur de mes attentes; il est drôle, intelligent et vif d’esprit, il est curieux et chaleureux, sans oublier sa belle gueule et son joli petit cul. Seulement, j’ai rarement l’occasion de toucher ce petit cul. C’est comme s’il était désincarné, indifférent à son propre corps et au mien. Il m’enlace et m’embrasse, oui, mais sans concupiscence, sans envie. Que je me fasse canaille, langoureuse, délicate, tendre ou polissonne, il reste apathique. Avant de le tromper, j’ai d’abord compté. Dans une note verrouillée de mon téléphone, j’ai listé le nombre de jours sans sexe et mes tentatives avortées. Lorsque le cap des 200 jours sans rapports a été franchi, j’ai décidé de prendre un amant. Et depuis, je suis heureuse, c’est aussi simple que ça.
Quand la machine s'enraye et mon mari découvre la tromperie
Le jeudi, mon amant est revenu. Je l’attendais sur le canapé, jambes encartées, sans culotte. Il a d’emblée enfoui son visage entre mes cuisses et m’a consommée. Ses doigts ont rejoint sa langue, profitant de la cyprine qui dégoulinait pour s’insérer partout. Deux dans ma chatte, son pouce dans mon cul, sa langue sur mon clitoris, des flots de volupté m’emportaient lorsque j’ai entendu un signal qui ne devait pas avoir lieu, pas maintenant. Le craquement de la dernière marche de l’escalier, celle juste devant l’entrée. Je n’ai pas eu le temps de réagir que la porte s’ouvrait. Mon mari.
Mon mari, immobile, la main figée sur la poignée. Et moi, sur le canapé, jambes écartées, un inconnu s’en donnant à coeur joie au milieu. Je suis pétrifiée, incapable de parler ou de bouger. C’est lui qui agit. Tandis que mon amant poursuit son labeur, inconscient de ce qui se joue dans son dos, mon mari pose un doigt sur ses lèvres : “chut.” Il dépose ses affaires sur la table, se déshabille en silence, ne conserve que son caleçon - comme le fait mon amant, ce qui m’excite soudain énormément. Il s’approche de nous et m’attrape violemment par les cheveux, bascule ma tête en arrière. Entre mes cuisses, le mouvement cesse, mon amant s’est aperçu qu’on était désormais trois et a un geste de recul. “Continue”, ordonne mon mari sans élever la voix et l’autre s’exécute avec une fougue renouvelée. Mon mari tire un peu plus sur mes cheveux, me prend le menton et me regarde dans les yeux. Il y a quelque chose que je n’y ai plus vu depuis une éternité, qui me transperce : de l’excitation. Il m’embrasse sans ménagement puis me gifle. J’ai à peine le temps de souffler qu’il ôte son caleçon et s’installe sur moi, enfonce son sexe dans ma bouche. J’avais oublié comme sa bite était grosse et m’étouffe dessus avant de parvenir à l’engloutir presque entièrement. Mon mari ne me quitte pas des yeux, me force à relever la tête. “Maintenant, tu vas te mettre à genoux.” C’est lui qui mène la danse et je m’exécute, subjuguée. “Toi, tu vas l’enculer”, adresse-t-il à mon amant. Ce dernier est un peu hésitant mais très excité, à en croire sa trique. “Et toi, tu vas continuer à me sucer en me regardant dans les yeux.” Je reprends sa bite en bouche, elle me paraît encore plus grosse.
Mon mari me chope fermement le crâne et pousse, mes lèvres s’écrasent contre son pubis. Derrière, je sens le gland de mon amant contre mon anus cherchant à s’insérer sans y parvenir. Il remet un doigt, puis deux, puis trois, puis sa queue. Après une petite résistance, elle s’enfonce dans mon cul et une douce chaleur inonde tout mon corps. C’est la première fois qu’il m’encule et je sens qu’il peine à contenir son euphorie, il halète, enfonce ses ongles dans ma chair. Mon mari accélère la cadence, sa bite remplit toute ma bouche lorsqu’il m’ordonne “et maintenant les couilles”. Ça me semble impossible, il n’y a plus de place, mais j’ai envie de réussir : j’attrape ses testicules pour les remonter et après quelques tentatives, elles rentrent à leur tour. Ma bave coule, j’ai les larmes aux yeux : je baise avec mon amant et mon mari en même temps et je sens que l’on va avoir un orgasme extraordinaire. Mon amant est le premier à craquer, il laisse échapper un cri et lâche tout dans mon cul. Les spasmes de sa queue me donnent des décharges de plaisir, je ne parviens pas à me retenir : je jouis à mon tour, mes gémissements s’étouffent contre la queue de mon mari qui éjacule au fond de ma gorge. Je m’étrangle et recrache à moitié son foutre par le nez. Et là, le cul brûlant, le visage plein de sperme, entre mon amant pantelant et mon mari essoufflé, je me dis que mes deux après-midis par semaine vont devenir encore plus intéressants.
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