Alors que je fantasmais sur ses petits seins depuis des semaines, la serveuse m'a offert un dessert des plus gourmands : une baise au restaurant.
O- Oh, tu prends un café ?
La sollicitation d’Antoine me sort de ma rêverie. Autour de la table, des regards amusés. “Laisse, il était encore en train de penser à sa petite serveuse” !” Les gars se marrent, à qui en rajoutera le plus sur la grande histoire de Raphaël et la petite serveuse. Je proteste un peu pour la forme, mais ils sont dans le vrai. Elle m’obsède depuis des semaines.
Depuis notre premier dîner entre potes dans ce restaurant et son premier sourire. Une apparition soudaine de ses fossettes m’a retourné le cerveau et fait devenir immédiatement con. À chaque fois qu’elle s’approchait de notre table, je lâchais des blagues si nulles que mon estomac s’effondrait sur lui-même de honte. Mais elle a ri à ces blagues nulles. Plusieurs fois. Et de ses yeux au creux de ses joues jusqu’à la naissance de ses petits seins, la façon dont elle balance ses hanches en traversant la salle, les discrets bijoux en or qui attrapent la lumière sous sa coiffure stricte, la rondeur de son cul dans ce pantalon noir, tout m’a semblé incroyable.
Évidemment, j’ai rêvé d’elle ce soir-là. C’était un premier rêve plutôt chaste, beaucoup de caresses et quelques baisers. Je faisais sauter les boutons de sa chemise de travail austère, dévoilant un bustier en dentelle. Sa peau était pâle et chaude, parsemée de grains de beauté. Elle me mordillait le lobe de l’oreille en effleurant mon torse. Les prémices alléchants d'une baise au restaurant interrompus par le réveil. J'ai ouvert les yeux en sueur, avec une érection douloureuse, dévoré par l’envie d’arracher ce bustier et d'attraper ses tétons entre mes dents.
Le vendredi suivant, j’ai mis toutes mes capacités de persuasion à l’épreuve afin de convaincre l’équipe de retourner dans ce restaurant. Tout y est passé, la recette de la volaille fermière, le confort des fauteuils de tissu vert sombre, la beauté de la véritable vigne vierge qui colonisait le mur du fond. J’ai parlé de tout sauf d’elle et personne n’a été dupe. “La petite serveuse de Raphaël” date de ce soir là. Nous y sommes retournés trois fois depuis. À chaque fois, je me suis encouragé avant de pousser la porte, me promettant que j’allais lui demander son numéro, l’inviter à boire un verre et l’embrasser. À chaque fois, elle riait à mes plaisanteries douteuses, m’effleurait les doigts en me tendant le menu. Elle me regardait quelques secondes de plus que ce qu’impose la politesse en prenant ma commande et je me liquéfiais en imaginant ses paupières tremblantes au moment de l’orgasme. Pourtant, à chaque fois, je suis resté figé et j’ai baissé la tête en composant le code de ma carte bleue.
La serveuse est tellement sexy
Mais ce soir, il y a quelque chose de différent. Une légère électricité dans l’atmosphère, un peu plus de maquillage sur son visage, une détermination dans ses gestes. Antoine rajoute une tournée de cognac aux cafés et lorsqu’elle amène le plateau, je m’aperçois que nous sommes les derniers clients. Il est tard, le cuisinier et les autres serveurs sont partis depuis longtemps, les rideaux ont été tirés. La partie vide la salle est plongée dans la pénombre, seule notre table et le comptoir sont encore illuminés. Les gars ont fini les verres et s’apprêtent à partir, ils débattent de la suite de la soirée, veulent aller en boîte, au bar, je ne sais où. Moi, je veux aller entre ses cuisses, entre ses seins, entre ses fesses, les vagues de désir qui me traversent sont à la limite du supportable. Et puis, ça se produit. Comme dans mes rêves. Au moment de payer, alors que les mecs se chahutent et se chauffent pour un bar de nuit, elle me chuchote “rejoins-moi derrière le restaurant”. J’en loupe mon code, des fourmis s’agitent dans tous mes muscles, ma queue durcit instantanément, tend le tissu de mon pantalon.
J’ai du mal à me débarrasser de la troupe de copains, ils ne goûtent guère mon excuse de la fatigue et m’abandonnent avec quelques huées. Je m’en fous, plus rien d’autre ne compte que ce qui va se produire. Je m’engage dans la ruelle et elle est là. Elle fume une cigarette sur le pas de la porte dans l’arrière-cour du restaurant. Elle me regarde approcher en souriant, écrase son mégot et m’attrape par la nuque. Sans un mot, on s’embrasse. Enfin.
Sa bouche est telle que je l’imaginais, lèvres douces et pulpeuses, un léger goût de tabac qui m’écoeure et m’excite. Sa langue se faufile entre mes dents, je l’attrape et la mordille. Sans cesser de m’agripper, elle ouvre la porte, on rentre en titubant dans la salle. Toutes les lumières sont éteintes à l’exception d’une fine guirlande qui court derrière le comptoir. Elle me pousse dans un grand canapé, se dresse face à moi et détache lentement les boutons de sa chemise. Elle n’a pas de soutien-gorge, tétons pâles et peau lactée qui se détache dans la pénombre. Ses petits seins sont tels que je les avais imaginés, ronds et parsemés de grains de beauté. Elle est ensorcelante. Elle laisse tomber le tissu au sol, commence à défaire son pantalon. Elle n’a pas de culotte non plus. Dans cette lumière diffuse, la fine toison de sa chatte bouclée me fait l'effet d'un dessert à dévorer sans en laisser une miette.
Mes vêtements disparaissent à leur tour et je l’attire à moi. Je goûte tout, ses tétons dans ma bouche, ma langue sur l’intérieur de ses cuisses, son cul dans mes mains, je ne veux pas perdre une miette de sa peau. Son souffle s’accélère et elle gémit doucement lorsque je passe ma langue sur son clitoris. Sa chatte sent le pêché et le bonheur, j’y glisse mes doigts en continuant à jouer avec ma bouche. Elle gémit un peu plus fort et j’accélère, mon autre main frôle son trou du cul, tout est trempé, glissant de cyprine. Je sens ma bite gonflée frotter contre le velours du canapé. Il me semble que je vais jouir maintenant d’avoir seulement son corps sous mes doigts, son plaisir entre mes mains. Ses doigts accrochent mes cheveux et la mélodie de ses cris étouffés me guide jusqu’à ce qu’elle jouisse. Un éclat de voix et ses jambes tressautent, son corps se relâche.
J’embrasse délicatement sa chatte bouclée et son ventre lorsqu’elle se redresse et me fait m’asseoir. Ma queue dressée vers le ciel, elle s’agenouille, crache dessus et me prend en bouche un instant. Secondes d’extase. Sa gorge est si douce, sa langue si agile, ses doigts autour de mes couilles si efficaces que je suis presque soulagé lorsqu’elle arrête pour venir se mettre à califourchon sur moi. Mes mains attrapent ses hanches, je suis prêt à plonger en elle, à réaliser ce fantasme qui habite mes nuits depuis des semaines. J'ai tant rêvé de son cou, de la sentir frémir entre mes reins, l'instant me fait l'effet d'être encore un rêve. Elle m’embrasse et titille ma langue avec la sienne, sans me laisser la pénétrer tout de suite.
Le visage éclairé d’un sourire, ses fossettes hypnotisantes, elle s’amuse à laisser le bout de mon gland passer ses lèvres avant de se retirer. Elle pince mes tétons en faisant glisser ma queue entre ses fesses. Elle me mord le cou en frottant sa chatte contre mes testicules. Elle colle ses seins contre mon torse, roule des hanches, gémit dans mon oreille. Elle fait tout, tout sauf enfoncer ma queue au fond d’elle et je me sens devenir fou. J’attrape son petit cul, la serre contre moi et enfin elle s’assoit sur ma verge.
L’intérieur de sa chatte est brûlant et moelleux, j’y plonge avec délice, encore et encore. Ses mouvements de bassin sont diaboliques et sa respiration saccadée augmente encore mon plaisir. On se perd l’un dans l’autre, nos corps sont luisants, ses tétons durs contre mon torse, sa bouche partout, les petites convulsions de sa chatte. Je suis parcouru de frissons et pourrais jouir à chaque seconde.
Je l’étreins avec force et chatouille son cul, le bout de mon majeur s’y insère doucement, naturellement. Elle a un hoquet de plaisir, ses ongles s’enfoncent dans ma peau. La légère douleur fait encore grimper mon excitation, je sens que c’est maintenant. Je plonge mon doigt et ma queue en même temps, elle gémit, sa voix devient plus grave, ses mouvements de bassin plus rapides. Encore, encore un peu, la tête me tourne, ma queue va exploser. Elle halète “maintenant” et je m’enfonce en elle une ultime fois, je lâche tout. Nos cris se rejoignent et on reste là, agrippés, haletants, transis.
Je ne sais plus vraiment comment je suis parti mais me voilà dans la rue, à la lueur des lampadaires. Il y a des appels manqués et des messages en attente sur mon téléphone, les copains attendront bien demain. Mes jambes flageolent un peu, ma queue est toute molle. Je souris bêtement en pensant au canapé de velours tâché et me dit que j’ai hâte de goûter aux autres plats de ce restaurant.
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