Dès ma première rencontre avec ma belle soeur, j'ai su que c’était est une cochonne. Ma copine était déjà une bonne salope au lit, mais elle, l'était encore plus.
Tout se passait très bien avec ma copine, je n'avais jamais eu dans ma vie, une femme avec qui je vivais une osmose sexuelle parfaite. Dès le début de notre relation, on ne faisait que baiser. Elle avait tout le temps envie et moi aussi. On baisait aussi bien chez nous qu'en extérieur. Elle m'a permis de réaliser plein de fantasmes et je ne me lassais jamais de coucher avec elle. On a baisé ensemble au cinéma, sur une plage, et même dans un ascenseur. On baisait aussi très régulièrement dans notre voiture à la vue de voyeurs. C'était bon d'être complètement épanoui au niveau sexuel. On savait qu'on vivait quelque chose d'exceptionnel et c'est pour ça que notre relation durait sur le long terme. Elle me disait toujours qu'elle aimait me sentir en elle pour la faire jouir. C'est tout naturellement qu'un jour, elle a décidé de me présenter à sa famille. Je ne m'attendais à rien en particulier, je savais juste qu'elle avait une sœur. J'avais vu des photos, mais je ne pensais pas que ma belle est une cochonne.
Le jour de ma première rencontre avec ma belle-famille, j'ai tout de suite été subjugué par ma belle sœur. Elle avait des gros seins et elle avait mis un décolleté plongeant qui appelait mon regard. J'avais envie de la mater et j'avais du mal à être discret. Cette femme était une belle cochonne qui semblait même vouloir charmer le copain de sa sœur. C'était bizarre de la voir habiller comme une salope. Elle me jetait des petits regards coquins et je sentais bien que je lui plaisais. Même si je venais juste de baiser sa sœur quelques minutes avant, je sentais ma queue qui devenait dure dans mon pantalon. J'essayais de contrôler mon érection, mais j'avais très envie qu'elle s'occupe de ma queue. Je savais que je ne pouvais rien faire et je me disais que je devais me faire des films. J'ai essayé de rester un peu éloigné d'elle pour éviter toute tentation. Ce n'était pas facile, mais en même temps, je n'étais pas venu ici pour me taper ma belle sœur. Je sentais l'envie sexuelle monter et j'ai demandé à ma copine si on pouvait s'éclipser quelques minutes. On est allé dans sa chambre, elle m'a demandé si tout allait bien. Je lui ai dit que j'étais très stressé et que j'avais envie de jouir en elle pour me sentir plus détendu. Elle a eu un petit sourire coquin et l'idée lui a plu. Elle a relevé sa jupe pour me montrer sa chatte et elle s'est allongée sur son lit. J'ai sorti ma queue qui s'est mise à bander directement. Je l'ai baisé bien fort en gardant ma main sur sa bouche pour que personne ne l'entende crier. C'était bon de l'avoir à ma disposition pour qu'elle me fasse du bien dès que j'en avais envie. Une fois qu'on a fini, quand j'ai ouvert la porte, je suis tombé nez à nez avec sa sœur. Elle a dit qu'elle venait nous chercher, car on allait bientôt passer à table. Mon regard s'est porté sur sa poitrine et j'ai compris qu'en fait elle était derrière la porte depuis un moment. Cette cochonne avait sûrement envie de baiser avec moi, mais je ne pouvais pas lui donner ce dont elle avait envie.
Au moment du repas, ma belle-soeur me caresse la bite
On a rejoint tout le monde et le repas se passait plutôt bien. Comme j'avais les couilles bien vides, j'arrivais à ne pas trop être focalisé sur ma belle sœur. Elle aimait se pencher sur la table pour attraper des objets éloignés d'elle, je savais qu'elle le faisait exprès et qu'elle avait envie de me provoquer, mais je faisais tout pour me contrôler. Elle me lançait des petits regards coquins avec des petits sourires en coin qui en disait long sur ce dont elle avait envie. Quand le dessert est arrivé, j'ai compris qu'elle ne lâcherait pas l'affaire avant d'avoir couché avec moi. Alors que je commençais à manger ma part de gâteau, j'ai senti un pied qui se rapprochait de mon entre-jambe. Au début, j'ai cru que c'était ma copine, mais j'ai posé ma main sur son pied pour remonter le long de sa jambe. C'est là que j'ai compris qu'il s'agissait en fait de ma belle sœur. Cette cochonne voulait absolument me faire comprendre qu'elle avait envie de moi. Je me suis relaxé et je l'ai laissé me caresser ma queue avec son pied. Elle était douée et ma queue est vite devenue dure. Ma copine juste à côté de moi ne s'est rendu compte de rien et heureusement. J'avais plus qu'envie d'éviter un drame au sein de la famille surtout à cause de moi. J'avais du mal à finir ma part de gâteau, car elle était vraiment douée. Elle a même mis son deuxième pied pour me faire encore plus d'effet. Je me cramponnais à la table pour essayer de garder un peu de sérieux même si j'avais envie de tout pousser pour la baiser sur la table.
Ma copine avait un petit coup de fatigue et elle m'a dit qu'elle allait faire une petite sieste, elle m'a dit que je pouvais regarder la télévision en l'attendant. Sa mère m'a demandé de l'aider à faire la vaisselle avant que je n'arrive au salon. Cela ne m'embêtait pas et je pouvais comme ça faire un peu sa connaissance. Elle était très sympathique. Elle m'a posé beaucoup de questions et j'étais content de lui montrer que j'étais un gendre idéal. Une fois qu'on avait fini, elle a appelé sa deuxième fille pour lui demander si elle pouvait aller lui faire une course. Comme elle n'avait pas le permis, sa mère m'a demandé si je pouvais l'emmener au supermarché. Je me suis dit que la situation allait être tendue, mais je ne pouvais pas refuser sans que cela ne soit suspect. J'ai accepté de l'emmener alors que ma copine dormait toujours. Je me suis dit que je ne pourrais pas refuser ses avances, si elle en faisait une fois qu'on serait que tous les deux. Je me suis préparé et on est parti ensemble. Dès qu'on s'est retrouvé tous les deux, elle m'a dit qu'elle avait très envie de moi. Elle s'est excusée de son comportement à table, mais elle n'avait pas pu retenir son envie de découvrir ma queue. Je lui ai dit qu'il n'y avait pas de problème et que j'avais apprécié cette petite expérience. Alors que je conduisais, elle a commencé à passer sa main sur ma queue. Elle m'a dit qu'elle savait que ce n'était pas bien par rapport à sa sœur, mais elle se sentait très attirée par moi. Je ne savais pas quoi faire, mais j'adorais sentir sa main sur ma queue. Elle me caressait de plus en plus jusqu'au moment où elle a passé ma main dans mon caleçon. Elle m'a tout de suite dit que sa sœur avait de la chance, car j'avais une très belle bite. Elle avait très envie d'y goûter et elle m'a demandé si elle pouvait me pomper.
Je lui ai dit que cette situation était quand même bizarre et que s'il devait se passer un truc entre nous, il faudrait que ça soit une seule fois. Elle était plus que partante et je lui ai dit que ça serait une unique baise ensemble, mais que j'allais la faire jouir comme une grosse chienne. Au moment où j'ai dit ça, elle a poussé un petit cri de plaisir et elle s'est jetée sur ma queue pour me pomper. Cette cochonne m'a sucé en fond de gorge sans attendre. Elle était très douée et j'en ai profité pour lui caresser ses gros seins en même temps. Je n'avais plus qu'une main sur le volant et je palpais ses gros seins pendant qu'elle bouffait ma queue à fond. Si ma belle-mère savait que j'allais baiser ma belle sœur, elle ne nous aurait jamais envoyé en course ensemble. C'était bon et à un moment sur le chemin, j'ai vu un petit coin où arrêter la voiture. Je me suis calé comme un pacha pour qu'elle puisse continuer à me sucer à fond. Comme j'avais déjà baisé deux fois avant ma copine, au réveil puis dans sa chambre, j'étais dans de bonnes conditions pour être endurant.
Cette cochonne me donnait envie de la baiser bien fort. Elle faisait tout pour me chauffer bien comme il faut. Je lui ai dit de s'installer sur la banquette arrière pour que je m'occupe de la faire jouir. Elle était complètement à poil. Son corps était magnifique et je pouvais enfin profiter de sa belle poitrine. J'ai ouvert la porte arrière et je l'ai attrapé par les jambes. Je l'ai ramené à mon niveau et j'ai mis ma queue en elle. Elle était contente de me sentir en elle et j'ai posé mes mains sur ses gros seins avant de commencer à la pilonner. Je lui disais de gémir sans retenue et de bien profiter de ma grosse queue en elle. Elle aimait ça et elle couinait comme une grosse cochonne. Elle me suppliait de ne pas m'arrêter et de continuer à la baiser bien fort. Elle avait de la chance, car je n'avais pas du tout envie de m'arrêter. Elle mouillait bien et je me sentais bien au fond de sa chatte. Je lui tapais dans le fond et elle encaissait mes coups de bite comme une professionnelle. Au bout de 30 minutes, je n'avais toujours pas envie d'éjaculer et comme cette salope avait encore envie de plus, je l'ai retourné pour l'enculer. J'ai mis ma langue sur son petit trou pour la lubrifier avant de la pénétrer. Elle avait son cul bien tendu vers moi quand je l'ai enculé. Cette chienne aimait la sodomie et ma queue était bien serrée dans son anus. Je lui ai bien cassé le cul avant de finalement jouir en elle. J'ai senti l'orgasme envahir tout mon corps. Elle a adoré et elle m'a dit que c'était l'une des meilleures baises de sa vie. Je l'ai prévenu que maintenant, elle devait se tenir à carreau et que cela ne se reproduirait plus.
On est vite allé faire les courses avant de rentrer, car on avait quand même pris pas mal de temps pour baiser ensemble. Il ne fallait pas que des doutes s'installent. Quand je suis arrivé, ma copine dormait toujours, j'en ai profité pour vite aller prendre une douche. Heureusement pour moi, au moment où j'avais presque terminé ma copine est venue me rejoindre. Elle avait encore envie de moi. Je commençais à être épuisé sexuellement, mais je n'ai pas hésité à la baiser encore une fois. C'est un avantage de pouvoir baiser dès que je veux alors c'est sûr que je ne peux pas me plaindre. On verra juste comme ça va se passer pour la suite avec ma belle soeur, car vu la grosse cochonne qu'elle est, je ne suis pas certain qu'elle n'essaye pas une nouvelle fois de baiser avec moi. Cette coquine aime le sexe et vu qu'elle a adoré baiser avec moi, je pense qu'elle ne va pas avoir envie de s'arrêter là. Il faut juste que je fasse attention de ne pas me faire griller.
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