Ce soir-là, je baise avec ma prof de maths qui a vingt ans de plus que moi et découvre les plaisirs du sexe avec une femme d'expérience, bien plus mature que moi. Un tournant dans ma vie sexuelle. Je ne le sais pas encore, mais ma relation avec elle va largement dépasser les simples exercices de géométrie ou d'algèbre. Je m'appelle Pierre, j'ai 19 ans à ce moment-là, et je découvre chez moi quelque chose d'insoupçonné.
Élève plutôt réservé, j'écoute attentivement et tâche de me concentrer sur le discours très précis de mon enseignante. Elle est assez classique et donne à voir de la rigueur avec assez peu de place pour des moments de folie. Une coupe de cheveux courte, elle est brune, élancée et sèche. Elle porte des pantalons sombres, ceinture en cuir marron ou noir, et des chemisiers manches longues. Cette femme m'intrigue. Cette femme soulève en moi le désir de percer un mystère que je ne saisis pas. Son regard est perçant, aiguisé, cinglant, mais mystérieux. Malgré une apparence classique et sobre, il est possible de deviner sous le chemisier entre-ouvert, de jolis petits seins maintenus dans un soutien-gorge rembourré, la plupart du temps, écru.
Je me surprends à divaguer sur ses seins et à les imaginer ronds et rebondis lorsqu'elle retire ses dessous emboîtants. Dans mes songes, elle les libère avec soulagement, les masse dans le creux de ses mains et se détend après une longue journée de travail avec ses élèves.
J'aime comment elle me regarde. Elle regarde vraiment, et on peut voir dans son regard de la profondeur, et de la fantaisie cachée par son costume d'enseignante respectable. Cela lui arrive de me questionner après les cours sur tel ou tel exercice. L'échange est agréable et dérive sur d'autres sujets liés à mes occupations et loisirs.
Je joue de la guitare et pour une fois, quelqu'un y porte un intérêt particulier. C'est cette même prof qui, un jour, est venue me voir jouer lors d'une animation musicale avec un groupe de copains musiciens. Je l'aperçois, lui souris, et la retrouve après le concert pour recueillir son avis sur la prestation. Elle est radieuse, maquillée et pour une fois, elle est vêtue d'une robe rouge et très lumineuse. Je lui fais visiter les coulisses de l'évènement, et dans un moment d'égarement, je l'embrasse fougueusement. Je crois qu'elle attendait ça. Elle rétorque par un baiser enflammé, toute langue dehors et me fait comprendre son état d'excitation intense. Je la plaque contre le mur de la pièce vide et renifle son odeur envoûtante, renforcée par le parfum puissant qui inonde son cou. Je m'attarde sur ses seins, si souvent imaginés s'épanouir dans une libération de sous-vêtements, et je les pelote avec avidité et frénésie dans un contact sauvage et passionné.
Ma prof se laisse aller et me guide jusqu'à son entrejambe humide, déjà lubrifié de mouille par son état d'excitation totale. À cet instant, je ne raisonne plus, je ne pense plus ni à l'algèbre, ni à la géométrie et dégaine ma queue bandante pour m’immiscer dans sa chatte mystérieuse et trempée. Je plonge dans son vagin dilaté, et m'emballe dans une série d'allers et retours vigoureux, sous le son des gémissements de plaisir de mon enseignante. Calée sur la table de travail, elle s'étale et écarte les jambes de plus en plus pour sentir ma grosse bite s'immiscer en elle, frôler la muqueuse et la faire vibrer encore plus fort. Je dévore ses nibards qui pointent vers moi en m'implorant de les bouffer sauvagement et je taquine avec ma langue affamée ses petits tétons frétillants et sensibles. Je glisse aisément et intensément dans sa chatte parfaitement épilée et accessible sans culotte. La robe rouge relevée à la taille est le vêtement idéal pour une baise improvisée. Ce jour-là, je fais jouir ma prof de maths de 20 ans de plus que moi dans les coulisses de mon spectacle et découvre le plaisir de faire l'amour avec une femme plus mature.
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