Dans les douces collines de la Drôme, où les paysages vallonnés invitent à la contemplation, je me retrouve au cœur d'un domaine viticole, entouré par des rangées ordonnées de vignes verdoyantes. Chaque été, je renoue avec mon refuge parmi les ceps de vigne, fidèle saisonnier que je suis. Au sein de ce domaine, Gustave Dupont règne en maître, passionné par ses raisins qu'il chérit comme ses propres enfants. Son épouse, Laure Dupont, incarne la gentillesse et la générosité, offrant secrètement des bouteilles de vin aux saisonniers, sans que son mari ne le sache. Entre l'amour passionné de Monsieur Dupont pour ses vignes et les attentions discrètes de Madame Dupont, je découvre un univers où la passion pour le vin et la bonté se marie aux délices sucrées des raisins mûrs.
Rendez-vous charnels avec la femme du propriétaire
Presque tous les jours, dans le plus grand secret, Laure envoyait des messages discrets à quelques saisonniers triés sur le volet. Ces messages, c'était pour leur donner rendez-vous la nuit même, dans un petit cabanon planqué au milieu des vignes. Là-dedans, avec juste la lumière des bougies qui vacillaient, elle nous accueillait avec un grand sourire et nous filait pas juste une bouteille, elle s’adonnait surtout à des aventures charnelles selon ses envies quotidiennes. Ces petites rencontres de nuit, c'était comme des îlots de douceur au milieu du silence des vignes qui nous feraient elles aussi transpirer au petit matin, d’une manière toute autre.
On se connaissait depuis plusieurs années déjà. Je sais parfaitement que Laure a toujours apprécié la fraîcheur des jeunes saisonniers, mais elle aimait me convoquer. J’avais appris à la contenter et cela renforçait une sorte d’intimité particulière entre nous. À ses côtés, j’ai pu tester de nombreuses pratiques comme la sodomie, les plans à plusieurs, et même l’uro. Elle me confiait ses sentiments amoureux sur la relation sincère qu’elle entretenait avec son mari, tout en me faisant subir son insatiable appétit sexuel. J’adorais ça.
Le jour de mon arrivée au domaine, lors d’un repas convivial avec les propriétaires du domaine et leurs employées de la saison, je m’éclipse l’instant de trouver les sanitaires situés à l’extérieur du grand hangar où se tenait notre traditionnel gueuleton annuel. Une fois mon affaire finie, je tombe nez à nez avec Laure, qui m’avait observée toute la soirée. Elle se penche alors sur mon oreille, et me murmure de la retrouver cette nuit au cabanon… Pour la première fois, j’allais être sa première conquête de la saison, c’était très excitant ! Je lui souris et rejoins alors le reste du groupe, tentant de dissimuler ma gaule, en ne pensant plus qu’au dessert promis par cette belle nymphomane mature.
Scène de domination pour orgasme extrême
Une fois que tout le monde avait rejoint sa tente, je prends discrètement le petit chemin qui mène au cabanon, guidé par la seule lumière de la lune. Après quelques minutes, le cabanon éclairé apparaît enfin au loin. Je presse alors le pas en faisant bien attention de ne pas abîmer les chères vignes de Monsieur Dupont, respectant son amour profond pour ses cultures. Je pousse alors la porte et trouve Laure, en pyjama léger et sans culotte, assise les jambes écartées sur le canapé. La vue de sa chatte me fait bander instantanément. Je m’approche alors doucement à quatre pattes, comme elle aime, de son entrejambe qui m’avait tant manqué. À quelques centimètres de sa vulve, alors que je peux sentir son excitation, sa main vient repousser brusquement ma tête sans que je m’y attende.
"Pas encore." Dit-elle alors que je la regarde comme la déesse qu'elle était. Elle se relève et pointe le sol du doigt.
« Assieds-toi là, le dos contre le canapé. »
J'ai hoché la tête et je me suis mis en position. Laure m'enjambe, ses genoux sur l’assise, attrape mes cheveux, et repousse ma tête sur le sofa. Ses seins pendent au-dessus de moi et se balancent à portée de mes mains, sans que je puisse les toucher. J’ouvre alors ma bouche en tendant ma langue afin d’avoir un avant-goût de mon dessert, mais ses mains tiennent fermement ma tête dans le canapé. Elle se redresse au-dessus de moi, et pose sa vulve sur ma bouche affamée. Au-dessus de moi, se trouvent ces lèvres juteuses et brillantes. Je pouvais les voir se séparer alors que ses genoux s’écartent de part et d’autre de mon visage. Je déguste enfin ce nectar chaud et jouissif qu'elle tenait entre ses lèvres. Elle commence lentement à bouger ses hanches sur ma langue, contrôlant la pression du cunnilingus. J’esquisse alors des cercles avec ma langue le long de sa chatte humide.
"Putain, j'en avais tellement besoin." Laure se cambre et ses mouvements deviennent de plus en plus rapides, rajoutant une pression sur ma langue. Sa respiration devient de plus en plus forte à mesure qu'elle bouge sur mon visage. Puis ses gémissements se transforment en cris de joie tandis que je la sens couler sur mon menton. Je dégage mes mains pour saisir fermement ses fesses. Mes doigts frayent alors un chemin vers sa vulve, jusqu'à ce que je puisse finalement enfoncer un doigt.
"Oh putain !" Crie-t-elle alors que ses hanches ont arrêté de bouger, je sais qu'elle est au bord de l’éruption… Je continue de la tenir fermement tout en accélérant mes mouvements de langue. En quelques instants, elle poussa un cri étouffé en enfonçant sa tête dans le canapé. Laure libère alors mon visage et s’allonge sur le sofa en respirant fort.
« Baise-moi maintenant » me dit-elle d’un ton sévère. Je n’attendais que ça, je suis tellement dur ! Je me place entre ses cuisses et m’introduis lentement dans sa chatte humide et chaude. Elle crie de plaisir tandis que je continue de m’enfoncer en elle. Après quelques va-et-vient, je suis tellement excité que je sens l’orgasme monter en moi, et elle l’a senti.
« Éjacule sur mes seins » m’ordonne-t-elle d’un ton pressé. Je me retire, incapable d'atteindre sa poitrine à temps, et je me vide sur son corps.
Laure se lève tandis que je remonte ma braguette, et me raccompagne nue, recouverte de sperme jusqu’à la porte du cabanon. Elle me tend une bouteille et esquisse un sourire complice. « Merci pour ta fidélité Marc. Tu es l’un de nos meilleurs saisonniers ! On se voit demain au déjeuner. »
Je quitte alors mon employeuse, la bouteille entre les mains. J’ai hâte de continuer les récoltes au sein de ce domaine si spécial. Mais plus que tout, de me faire convoquer par Madame Dupont, qui sait rendre chacune des saisons inoubliables pour les vendangeurs chanceux qui croisent son chemin !
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