Cette jeune cadre en manque de sexe s'envoie en l'air sur son lieu de travail avec un collègue marié au milieu des dossiers. La baise torride fait gondoler les archives et révèle des aspects insoupçonnés de cette nana sérieuse et bien rangée. Elle redécouvre la sodomie et jouit fortement grâce à ce type excité.
Ce jour-là, Stéphanie, harassée par la charge mentale qui lui incombe, et en manque de sexe, a envie de s’envoyer en l'air au travail avec un collègue marié et fougueux. La pression, le quotidien, la gestion de la famille, la préparation des repas, elle n'en peut plus. Son mari ne la voit plus, ne la touche quasiment plus, ne lui prête plus attention. Elle rêve de mots doux, de vacances enivrées et de sexe torride où elle pourrait à nouveau se sentir désirable et sexy. Elle se laisse parfois aller à se caresser, seule, dans la salle de bain, et redécouvre son corps de femme en glissant ses doigts timides sur ses seins ronds, son ventre moelleux et ses hanches larges. Stéphanie est harmonieuse et pulpeuse, mais ne se plait plus tant que ça en se regardant dans le miroir.
Un plaisir solitaire pour combler le manque
Le temps passe, et il passe vite. Elle songe aux folles soirées qu'elle passait avec un nouveau partenaire à chaque fois, car elle les faisait tous succomber avec son beau cul et son décolleté plongeant. Aujourd'hui, elle n'y pense même plus. Elle n'a que très peu de temps pour elle et ne s'estime plus autant qu'avant. Elle le voit bien, sa peau est moins ferme, et se pense moins appétissante. Alors parfois, sous la douche, elle se laisse aller à un petit plaisir en solitaire en souvenir du bon vieux temps où elle jouissait encore. Elle caresse sa chatte, aujourd'hui velue, mais qui ne l'a pas toujours été. Elle effleure sa vulve tendre et s'attarde sur son clitoris toujours aussi sensible et sent bien qu'elle peut se stimuler assez rapidement. Elle virevolte ses longs doigts fins sur cette zone érogène et finit par pénétrer et enfoncer les phalanges dans son vagin. Elle glisse alors timidement au début, une sensation un peu honteuse sur ses joues rouges, puis accélère en appuyant un peu plus fortement pour augmenter la sensation. Le jet d'eau chaude vient en renfort de cette excitation rapide et lui procure un orgasme efficace qu'elle aimerait partager avec un homme.
La solitude et le désespoir au bureau
Ce jour-là, le désespoir et le, poids de la responsabilité l'envahit et trahit son désarroi. Ses collègues se rendent bien compte que quelque chose ne va pas. La jeune femme est habituellement joviale et ne laisse rien paraitre de ses problèmes personnels. Alors ce matin-là, cela n'échappe à personne. Mais Stéphanie est discrète et n'étale pas sa vie à la machine à café comme la majorité de ses collègues qui passent leur temps à se plaindre et à geindre.
Elle évoque le besoin de prendre quelques jours de congés bien mérités et sent son regard se perdre au loin, dans un environnement un peu flou de plages intimistes, de cocotiers, de sable blanc et fin, de mer turquoise et de chaleur. Elle s'imagine courir au bord de l'eau sous le regard complice de son mari qui brûlerait d'envie de l'attraper pour l'embrasser fougueusement et la dévorer pleinement aux yeux de tous. Le soleil viendrait parfaire sa peau dorée et elle pourrait exhiber sa jolie poitrine encore ronde et généreuse. Elle imagine se lover contre son amant sur la natte pleine de sable et succomber aux baisers de cet homme amoureux et excité. Il glisserait sa main sous son bikini et viendrait taquiner avec passion sa petite chatte humide en dévorant ses nichons mouillés d'eau qui perle légèrement. Mais assez de rêveries, Stéphanie est bel et bien au travail, et il n'en n'est rien. Point de vacances, ni de mari fou amoureux qui banderait rien qu'en la voyant. Bien sûr, certaines de ses proches collaboratrices l'interrogent, essaient d'en savoir plus, de lui tirer les vers du nez même. Mais la jeune femme est très professionnelle et ne dévoile en rien ses préoccupations. Que penseraient ces pimbêches si elles savaient que son mari ne la touchait plus ? C'était hors de questions de passer pour une petite coincée aux yeux de ces bimbos moulées, la plupart du temps, dans des vêtements trop serrés.
Difficile d'avoir la tête au travail pour Stéphanie cette journée-là. Les jours se suivent et se ressemblent quelque peu. Elle tâche de se concentrer, mais n'y arrive pas. Pour se distraire et rester dans l'action, la jeune cadre s'en va faire un tour du côté des archives. Elle parcourt les longs couloirs, tel un dédale interminable, gris et triste, et s'engouffre dans l'antre des dossiers bouclés et conservés ici, en lieu sûr. Prise dans sa concentration à chercher la rangée de la lettre F correspondant au nom de son client, elle entend non loin de là quelqu'un pester. La voix rauque d'un homme qui râle de ne pas arriver du premier coup à retirer cette boite lourde prise entre deux dossiers envahissants. Stéphanie rigole à entendre ces noms d'oiseaux énoncés sans retenue par ce collègue qu'elle connait si peu. Elle le connait, oui, mais vaguement, de vue. Le genre de collègue lointain avec qui on ne discute jamais. Elle s'approche de lui et l'interpelle, amusée, sur ses difficultés du moment à atteindre son objectif.
Une parenthèse enchantée dans les archives du bureau
L'homme, plutôt discret habituellement, sourit et engage la conversation. Le courant semble passer entre ces deux là qui se livrent l'un à l'autre sans préméditation, et qui animent cette salle immense d'archives inertes pendant un bien long moment. Le râleur discret, poussé par un élan d'audace, embrasse la jeune femme surprise, qui se laisse aller à recevoir ses baisers et à les lui rendre. Les langues s'enlacent, se lèchent, se taquinent, se caressent avec fougue et passion. Cela ne leur était pas arrivé depuis longtemps.
Plaquée contre les étagères métalliques, la jeune cadre abattue de ces derniers jours ressent en elle une énergie soudaine et une excitation certaine. Son partenaire glisse ses lèvres sur son cou dénudé et arrache le chemisier avec empressement pour dévorer cette poitrine alléchante qu'elle exhibe. Le soutien-gorge vite dégrafé vient se suspendre de manière hasardeuse sur le coin d'une archive tandis que Serge, le timide entreprenant, bouffe sauvagement les nichons de la coquine. Il aspire avec frénésie les tétons soumis depuis longtemps à trop d'enfermement et les titille vigoureusement. Il descend peu à peu sur le ventre souple de la jeune femme et déboutonne son pantalon pour humer son odeur et étaler sa langue affamée sur son minou peu préparé. La jeune femme hésitante écarte les cuisses amplement et se laisse convaincre par un cunnilingus savoureux et improvisé entre deux rayons de dossiers archivés. Stéphanie s'agrippe et prend appui autour d'elle à mesure que le plaisir lui coupe les jambes. Elle sent qu'elle mouille et que la langue glisse avec aisance sur sa muqueuse délicate.
L'affaire se poursuit à même le sol, couchés dans la précipitation du désir qui les pousse à l'action sans réfléchir. La jeune femme gémit de bonheur et sent monter un orgasme sans précédent qu'elle a du mal à contenir. Son instinct de femme fatale s'éveille et la pousse à se mettre accroupie pour sucer à pleine bouche le type très excité qui vient de la faire jouir puissamment. Elle enfonce dans sa gorge la longue queue sous tension qui frôle l'intérieur de sa joue dans des aller-retour intenses avant de s'immerger pleinement dans son gosier. La bite aspirée est astiquée et stimulée ardemment par une Stéphanie très coquine qui se révèle dans cette baise improbable. La jeune femme, restée tant de temps sans activité sexuelle et sans être le fruit du désir d'un quelconque partenaire, se lâche enfin. Elle se met à quatre pattes dans son élan insatiable et affiche un cul prêt à être pénétré vigoureusement dans une petite sodomie imprévue, mais tellement excitante. Le type bien émoustillé dégaine sa grosse queue nervurée d'afflux sanguin et s'immisce entre les belles fesses charnues et appétissantes de la jeune femme. L’anus, lubrifié rapidement par cette dernière, accueille la verge solide et impatiente dans ses zones les plus sombres et les moins fréquentées. Les va-et-vient du bonhomme dans l'orifice anal de la jeune femme sont intenses et irrésistibles pour cette nana en manque de sexe. Elle empoigne son cul et écarte amplement les deux lobes de son fessier pour faciliter la glisse et amplifier la sensation. La baise brûlante et torride s'achève dans un bain de transpiration et de satisfaction au milieu des dossiers bouclés.
La jeune femme vidée, mais satisfaite, se rhabille le sourire aux lèvres en veillant à ne rien laisser paraitre lors de son retour imminent à son bureau. Elle prend soin de reboutonner son chemisier et se refait une coiffure convenable à l'aveugle. Les deux amants se séparent comme si de rien n'était, à la différence près du sourire constant affiché sur leurs lèvres. De retour à ses tâches de travail, entourée de ses collaborateurs, la jeune femme, encore vibrante de cet orgasme puissant vécu dans la réserve, songe d'ores et déjà à la prochaine pipe qu'elle taillera près de la photocopieuse ou dans les toilettes de l'établissement pour stimuler son quotidien et prendre son pied intensément. C'est sûr, cette journée-là restera le début d'une nouvelle aventure trépidante pour cette coquine jusque-là insoupçonnée.
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