Sophie, est une femme à la beauté légère, grâce à sa belle chevelure rousse flamboyante, elle arrive à attirer quelques beaux types pour des histoires sans lendemain. C’est parfait pour elle qui n’aime pas les relations trop sérieuses, ni trop durables. Son métier de omptable l’amène à quelques déplacements réguliers auprès de ses clients.
La rencontre qui va bousculer sa vie
Un soir qu’elle rentrait de voyage, elle fit la connaissance de Pierre. Elle était seule et venait de rater le dernier bus, elle espérait trouver un taxi et patientait d’une manière incertaine sous un abri d’autobus quand une voiture s’est arrêtée à sa hauteur. Elle commença par être méfiante, mais la bonne foi du gars l’a convaincue. Son sourire de top modèle et la situation désespérée dans laquelle elle se trouvait, persuada la jeune femme qui ne se voyait pas passer plus de temps sur le trottoir qu’elle n’en avait déjà passé. Malgré qu’elle fût toute décoiffée et sentait la petite fille mal lavée, car elle venait de traverser toute la France en train, il lui proposa de s’arrêter boire un café à la station-service où il devait prendre de l’essence. Ils y restèrent une bonne demi-heure, et Sophie découvrit un homme tout à fait charmant. En bas de son immeuble, ils ne purent se quitter sans le faire chaleureusement. Un baiser sur la joue, puis sur la bouche et ils finirent par s’enlacer et faire l’amour dans la voiture. Il ne la voyait pas ainsi, elle n’avait pas l’air d’une fille facile…
Quelques jours plus tard, elle reçut un bouquet de fleurs rouges avec un petit carton d’invitation pour une soirée un peu coquine. Ne voyant aucune objection à découvrir une fête libertine, elle décida de l’y retrouver. Il est minuit, elle gare sa voiture non loin, observe les gens qui s’y rendent. Ils sont tous plus décadents les uns que les autres, des femmes extrêmement sexy, des hommes habillés en robes, des bimbos en strings et jarretelles attendent leur tour pour entrer. Quelqu’un frappe à la vitre, c’est Pierre. Vêtu élégamment pour l’occasion, il l’aide à descendre du véhicule. Elle est impressionnée et espère être à la hauteur. Sa robe n’est pas très moulante, pas très courte, mais elle lui plait, et il le lui prouve en l’embrassant tendrement. À l’intérieur un gang bang torride, elle regarde sans rien dire, l’ambiance est très joyeuse, les serveuses aguichent une clientèle généreuse aux mains baladeuses. C’est ainsi qu’elle découvrit des tendances perverses de son nouveau partenaire qui ne lui déplurent pas.
Les joies du sexe libre
La semaine suivante, dans un night-club, tout ce qui il y a de plus normal, elle l’observe en train de se faire sucer par une pute de luxe alors qu’un voyeur les mate. S’approchant de Sophie par derrière, l’homme se met à caresser ses seins, elle le laisse faire. Quelques instants suivants, un cunnilingus lui arrache des soupirs de jouissance. Pierre l’observe à son tour, elle est belle. Le petit salon dans lequel ils sont, prend l’ambiance d’une orgie, d’une partouze à quatre. À son tour, il découvre une personne qui sait apprécier les plaisirs charnels sans pudeur. Il réalise qu’il a enfin trouvé la personne idéale pour vivre des moments intenses, sans retenu, sans jalousie.
Il se plait par la suite à lui présenter des amants vicieux, des gigolos pervers à qui elle accepte de s’offrir en candaulisme pour le plaisir des yeux de son amant qui ne s’en lasse pas. Elle l’excite et c’est tout ce qui compte, elle reste désirable sans lui appartenir. Il aime la surprendre et la belle maitresse se plait à se faire enfiler par des inconnus sous le regard de Pierre qui souvent ne fait qu’observer en se branlant, se contentant de la prendre le reste de la soirée jusqu’au petit matin.
Un jour, il prétendit être un client, du cabinet de comptable dans lequel elle était employée depuis plusieurs années. Il ne la reconnut pas au premier abord. Coiffé d’un chignon, une grosse paire de lunette sur le nez, elle le reçut dans son bureau…
Elle demande qu’on ne la dérange sous aucun prétexte, verrouille la porte, dénoue ses cheveux, ôte ses lunettes. Le rejoignant, elle s’agenouille à ses pieds, entame une fellation. La passion est forte, il la relève, et soulève sa jupe, déchire son slip et glisse ses doigts dans sa fente, appelant ainsi le désir en elle. D’un mouvement vif, il balaie le bureau, porte la belle à califourchon, la pose, va-et-vient entre ses cuisses en faisant vibrer le meuble dans un vacarme peu discret. Se sentant transportée par l’orgasme, elle se met à gémir, il la bâillonne, empoigne sa longue chevelure rousse touffue, continue à la secouer. La secrétaire, devinant ce qui se trame de l’autre côté de la porte, frappe pour annoncer son départ, car son travail est terminé.
Elle adore lorsqu’il se manifeste de cette manière. Mais elle apprécie moins quand elle le sait dans les bras d’une autre. Elle n’est pas vraiment jalouse, mais s’inquiète qu’il trouve l’amusement qu’ils partagent ensemble avec une autre. Ce fut le cas la semaine passée.
L’amour et le sexe libertin, une histoire impossible ?
De sortie au cinéma avec Sarah, sa meilleure amie, toutes les deux remarquent un trio excité, devant, à quelques mètres d’elles. Elles gloussent sans les déranger, commentant discrètement chacune des actions qui se déroule. Curieuse Sophie longe la rangée des sièges pour aller aux toilettes. Elle voit l’homme couché sur une grande blonde, sa bouche en train de sucer ses gros tétons, alors que la deuxième, la tête enfouie dans le fauteuil, fait sans doute une fellation à ce même homme. Cette aventure d’un après-midi au cinoche la ravie jusqu’à ce qu’elle le reconnaisse. C’est Pierre. Blessée dans son cœur, elle court aux lavabos, s’enferme dans un cabinet. Elle se rince le visage, ne sait que penser. Elle ne peut pas lui en vouloir, elle n'en a pas le droit. Cependant, elle se sent blessée. S’apprêtant à ressortir, elle tombe face à face avec lui. Il ne s’était pas trompé, il l’avait bien reconnue, mais n’en était pas sûr. Il la prend dans ses bras, l’embrasse passionnément, s’enferme avec elle, relève sa robe, lui enfile son sexe entre les jambes. Il sait qu’elle apprécie ce genre d’étreinte, un peu violente. Sarah s’inquiétant du devenir de son amie depuis dix minutes, part la rejoindre. Elle la trouve le cul à l’air en train de se faire prendre par derrière vivement par celui qui se tapait les deux nanas dans la salle.
« Il les lui faut toutes à celui-là ??! Comment as-tu pu succomber ? »
Mais le type qu’elle ne connait pas lui annonce la couleur.
« Si tu veux, il y en a aussi pour toi, Salope »
Ce dernier mot n’a fait qu’émoustiller les sens de Sarah qui s’avance vers eux en dégrafant son corsage. Sa queue est toujours dans le cul de Sophie alors qu’il pince et commence à sucer les petits seins de Sarah. Une partie de jambes en l’air bloque à présent les toilettes, les autres spectateurs sont trop peu nombreux dans la salle pour aller se plaindre. Il les prend l’une après l’autre, oublie complètement ses deux copines dans la salle qui finissent par comprendre et partent sans l’attendre.
Ils suivent leur désir et finissent par aller s’installer dans un petit restaurant qui reste ouvert tard la nuit. Ils commandent des huitres et du vin blanc. Sarah s’évince sous la table et entame ce qu’il préfère le plus au monde. La fellation le porte à la jouissance, il la relève et la fait s’assoir sur son pénis en rut. Sophie voit que les initiatives de son amie conviennent parfaitement à Pierre qui se comporte d’une façon bestiale. Ses étreintes terminent toujours de la sorte. C’est de cette façon qu’il prend le plus de plaisir. Elle les regarde s'amouracher, descend la douzaine d’huitres à elle seule pendant qu’ils font l’amour. Ils finissent la nuit chez lui. Au petit matin, Sophie abandonne Sarah, elle est dans les bras de Pierre, ils semblent amoureux. Elle s’en va sans regret.
Cela fait quinze jours qu’elle n’a pas de nouvelles. À chaque fois qu’elle prend l’ascenseur, ou qu’elle va chercher sa voiture au parking, elle s’attend à le voir surgir, mais il n’en est rien…
C’est en rentrant chez elle, morose de la journée qu’elle vient de passer, qu’elle reçoit un message sur son portable. Pierre souhaite la reconquérir, si la braise n’est pas éteinte, il lui lance une invitation. Elle connait ses délires et pour l’y rejoindre décide ainsi de quelque chose d’extravagant pour le séduire. À vingt-deux heures, nue sous son imperméable gris, elle se rend au rendez-vous. Il est dit qu’une partie de sexe sauvage dans un château aux abords de la forêt de Montmorency est organisée ce soir, il l’y attend, la belle rousse gare sa voiture, l’endroit est peu éclairé, il reconnait au loin son énorme chevelure rousse, un plug anal dans la poche, il est décidé à surprendre de nouveau Sophie sa jolie comptable.
Ils pénètrent dans un salon, il n’y a personne, elle ne comprend pas, mais se laisse guider. Elle détache la ceinture de son trench, faisant ainsi apparaitre sa nudité. Il semble apprécier, s’approche, caresse son sexe jusqu’à glisser ses doigts en elle. Elle laisse tomber son vêtement, reste nue devant lui. Pierre tape des mains comme pour l’applaudir et au même instant, entrent dans la pièce deux hommes nus très bien bâtis. Elle sait ce qui l’attend. Ils sont beaux et totalement imberbes. Des bougies donnent à la pièce une atmosphère un peu glauque. L’étreinte est sauvage, ils la prennent tous les deux en même temps, elle se fait sodomiser à plusieurs reprises sans se plaindre. Leur pénis est long comme si Pierre les avait sélectionnés d’après ce critère. Sa gorge devient profonde comme elle ne l’a jamais été. Ses longs cheveux roux se font empoigner dans la position de la levrette. Les reins de l’un puis de l’autre claquent contre son fessier. Une caméra filme l’emprise sous laquelle elle est. Voilà presque une heure que son cul se fait défoncer sous les ordres du maitre de cérémonie qu’est Pierre exceptionnellement pour cette soirée. Il n’en perd pas une miette. La belle Sophie se sent spécialement désirable ce soir , car elle sent que son amant préféré se transforme en bête. C’est son tour, il évince les deux Apollons, la prend comme un animal, respire fort, éjacule sur ses seins après une branlette espagnole.
Il est heureux, son large sourire en témoigne. Mais ce dont elle n’est pas au courant, est qu’à l’étage, une vingtaine de convives est installé devant un grand écran. Ils ont tous vus les ébats de Sophie et de ses amants d’un soir. Les applaudissements l’ont interpellée, et quand elle entre dans la salle de diffusion, elle constate le résultat de ce qu’elle a déclenché, une véritable partouze. Elle est accueillie comme la star d’un instant, elle est la star de Pierre qui lui offre une coupe de champagne bien méritée, il l’embrasse amoureusement, la prend dans ses bras tendrement.
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